IN ITINERE a pour raison d’être de

« participer activement, à travers ses activités et des écosystèmes qu’elle mobilise, à accompagner et équiper la reddition des entreprises contributives ».

Du bon usage de la vérification pour IN ITINERE

IN ITINERE a pour ambition de faire évoluer les standards du marché de la régulation et, ainsi, de contribuer à équiper conceptuellement et opérationnellement la transition vers l’entreprise contributive en se distinguant des pratiques d’évaluation par indicateurs, qui mesurent sur la base de référentiels normatifs et qui limitent la marge de progression des entreprises.

La démarche de vérification constitue un levier de confiance et de mobilisation des parties prenantes pour soutenir la trajectoire de la Société à Mission et des entreprises engagées, étant entendu que la mission/les engagements expriment la contribution de l’entreprise aux progrès collectifs dans le cadre élargi de la responsabilité de l’entreprise introduit par la Loi Pacte.

Le besoin de confiance de toutes les parties est d’autant plus élevé que la Loi Pacte permet à l’entreprise de définir librement sa mission, de nature sociale et/ou environnementale. Pour que la vérification de la bonne exécution de la mission réalisé par l’OTI nourrisse la confiance, elle est réalisée de manière coopérative, en étant conçue et mise en œuvre de manière participative et conjointe par les parties de façon à servir l’intérêt collectif.

Les convictions d’IN ITINERE reposent sur quatre fondamentaux :

  • « Vérifier n’est pas juger » : La vérification accompagne une trajectoire de progrès et se concentre sur la façon dont la mission permet aux métiers d’évoluer vers une plus grande contribution.

    La vérification accompagne une trajectoire de progrès et se concentre sur la façon dont la mission permet aux métiers d’évoluer vers une plus grande contribution.

  • « Vérifier n’est pas sanctionner » : la vérification porte sur la qualité de l’exécution de la mission/des engagements, nos confianceurs vérifient les informations relatives à l’exécution de la mission et son inscription dans le fonctionnement réel de l’entreprise.
  • « Vérifier n’est pas mesurer un écart à la norme » : la vérification ne cherche pas à produire une conclusion normative qui affaiblirait la portée de la mission et les efforts de l’entreprise.
  • « Vérifier est au service d’un progrès collectif » : la vérification doit être un levier de mobilisation au sein de l’entreprise, comme outil de progrès, incluant toutes les parties prenantes et permettant d’observer le travail réel. La vérification c’est la possibilité pour le corps social d’entrer en dialogue au service de l’intérêt des différentes parties (constituantes et prenantes) de l’entreprise.